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"Huis clos sur la transparence" : quand Saint-Raphaël verrouille son débat public"


À Saint-Raphaël, la démocratie a pris des allures de pièce de théâtre, mais cette fois, rideau baissé ! Pour discuter des révélations gênantes du Canard enchaîné sur les pratiques managériales du maire (lire ici), le conseil municipal a dégainé une arme redoutable : le huis clos. Spectateurs et personnel municipal ? Évacué fissa. Ambiance sortie, sortie de scène digne d'une farce shakespearienne, mais sans les rires.


Josiane Chiodi, 1re adjointe de la Ville de Saint-Raphaël, déléguée aux finances et aux ressources humaines et le maire Frédéric Masquelier (Capture ecran TC ville de Saint Raphael)



Le prétexte ? Selon Josiane Chiodi, adjointe aux ressources humaines et poète en herbe, la discrétion visait à « apaiser les débats ». Traduction : éviter que les réseaux sociaux ne transforment les échanges en feu d'artifice de scandales. Une logique imparable : pourquoi affronter la tempête quand on peut la dissimuler sous le tapis ?



Elle en est ressortie "violentée"
OU ÉXÉCUTÉ ?

Et dedans ? Du Shakespeare à du Huis clos de Sartre, selon Emmanuelle Cocusse, l'élue minoritaire, c'était surtout un lynchage à trente contre une. Verdict ? Elle en est ressortie "violentée", alors que son teint blafard parlait pour elle.

Pendant ce temps, Jean-François Debaisieux, passé effectivement dans l'opposition, a tenté de "rétablir quelques vérités" — sans grand succès face à une majorité bien rodée.


Le maire ? 


Frédéric Masquelier, fidèle à son image, s'est contenté de répéter les doux mots de Josiane Chiodi. Pas de vague, pas d'explication. Et surtout, aucune réponse à la question qui brûle toutes les lèvres : que cache ce théâtre d'ombres ?


La vérité ? Peut-être dans la prochaine édition du Canard .

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